jueves, diciembre 28, 2006

Indochine-Tes yeux noirs



Hey, viens la, viens avec moi, ne pars pas sans moi
Oh! Oh! Oh! Viens la, reste-la, ne pars pas sans moi
Hey, tu prends tes vetements, tu les mets sur toi
Eh, cette nuit, dans ce lit, t'etais si jolie...
Mais qu'est-ce qui brille sur nos regards
Ce sont tes yeux noirs
Un corps muscle, des cheveux courts
Tu ressembles a un garcon
Et je sens ta peau meme sans lumiere
Les serpents sont legendaires
Ou vas-tu, les yeux noirs
Tu t'en vas vers nulle part
Allez, viens la, viens avec moi, ne pars pas sans moi
Hey, viens la, reste la ne pars plus sans moi
Hey, tu prends tes vetements tu les mets sur toi
Hey, cette nuit, dans ce lit, tu es si jolie...
On se reverra tous les jours des notre retour
Prends tes vetements, he, tu as froid
Et mets-les sur toi
Mais tu cries dans l'eau meme en hiver
Et brillent tes yeux noirs
Ou vas-tu quand tu pars
Dans la rue, vers nulle part
Allez, viens la, viens avec moi, ne pars plus sans moi
Allez, viens la, reste la, ne pars plus sans moi
Hey, cette nuit, par ici, tu es si jolie
Hey, tu prends tes vetements tu les mets sur toi...
Allez, viens la, viens avec moi, ne pars plus sans moi
Allez, viens la, reste la, ne pars plus sans moi
Hey, tu prends tes vetements tu les mets sur toi
Hey, cette nuit, dans ce lit, t'etais si jolie...

Indochine-A l'assaut



C'est dans le cœur de la planète
dans les bas-fonds de la terre
qu'ils sont partis pour une conquête
à l'assaut de ses rivières
Ils voyaient le jour impérial
en s'approchant du point limite 0
et sur les ailes du vaisseau spatial
ils aperçurent les ombres sur l'O

Regarde-les, ils sont trop jeunes pour la gloire la gloire
et comprends-les qu'ils soient trop jeunes pour la gloire la gloire

A l'assaut des ombres sur l'O
au coeur du temps tout puissant
à l'assaut des ombres sur l'O
des drapeaux sur l'horizon
et à l'aube du jour nouveau
elle et lui, tous avec moi

Ils échappèrent aux avalanches
les ombres voulaient les submerger
et c'est à titre de revanche
qu'ils continuèrent à avancer
ils voyaient le jour impérial
en s'approchant du point limite 0
c'est au moment triomphal
qu'ils oublièrent les ombres sur l'O

Regarde-les, ils n'ont pas dit leur dernier mot à l'O
Ecoutez-les, ils n'ont pas dit leur dernier mot à l'O

indochine- L'aventurier



Y pensar que vinieron a Lima, y pensar que fue hace tanto... grandes recuerdos a pesar de las bombas y la leche enci

Egare dans la vallee infernale
Le heros s'appelle Bob Morane
A la recherche de l'ombre jaune
Le bandit s'appelle Mr Kali-Jones
Avec l'ami Bill Ballantine
Sauve de justesse des crocodiles
Stop au trafic des Caraibes
Escale dans l'operation Nadawieb
Le coeur tendre dans le lit de Miss Clark
Prisonniere du sultan de Jarawak
En pleine terreur a Manicouagan
Isole dans la jungle birmane
Emprisonnant les flibustiers
L'ennemi est demasque
On a vole le collier de Civa
Le maharaja en repondra
Et soudain surgit face au vent
Le vrai heros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Derivant a bord du sampan
L'aventure au parfum d'Ylalang
Son surnom, Samourai du soleil
En demantelant le gang de l'archipel
L'otage des guerriers du Doc Xathan
Il s'en sortira toujours a temps
Tel l'aventurier solitaire
Bob Morane est le roi de la terre
Et soudain surgit face au vent
Le vrai heros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier

5 poemas para leer en el tranvía (fragmentos)




1. Tabacaria (Tabaquería) de Alvaro de Campos

No soy nada.
Nunca seré nada.
No puedo querer ser nada.
Aparte de esto, tengo en mí todos los sueños del mundo.

En el original...

Não sou nada.
Nunca serei nada.
Não posso querer ser nada.
À parte isso, tenho em mim todos os sonhos do mundo.

2. Zone (Zona) de Apollinaire

Ahora caminas por París completamente solo entre la muchedumbre
Rebaños de ómnibus mugientes ruedan cerca de ti
La angustia del amor te aprieta la garganta
Como si no debieras nunca más ser amado
Si vivieras en la antigüedad entrarías a un monasterio
Tenéis vergüenza cuando os sorprendéis rezando
Haces mofa de ti y como el fuego del infierno tu risa chisporrotea
Las chispas de tu risa doran el fondo de tu vida
Es un cuadro colgado en un museo sombrío
Y algunas veces vas a mirarlo de cerca

En el original...

Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule
Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent
L'angoisse de l'amour te serre le gosier
Comme si tu ne devais jamais plus être aimé
Si tu vivais dans l'ancien temps tu entrerais dans un monastère
Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière
Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille
Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie
C'est un tableau pendu dans un sombre musée
Et quelquefois tu vas le regarder de près

3. (Ítaca) de Kostantino Kavafis

Siempre ten a Ítaca en tu mente;
llegar allí es tu meta, pero no apresures el viaje.
es mejor que dure mucho,
mejor anclar cuando estés viejo.
pleno con la experiencia del viaje,
no esperes la riqueza de Ítaca.
Ítaca te ha dado un bello viaje.

En el original...

Más tarde :)

4. Documental de Luis Fernando Chueca

Ensayo esa misma frialdad documental en este poema y añado, sobre acontecimientos más cercanos: "Lo que quedaba de los cuerpos fue entregado a los familiares en cajas de leche Gloria. Poco antes se hallaron, enterrados, camino a Cieneguilla, restos de un maxilar superior y cinco dientes, el cráneo de una mujer con un agujero de bala, retazos de un pantalón calcinado y un juego de llaves, que permitió identificar a las víctimas y seguir la pista de los cuerpos embolsados". O transcribo, en un nuevo giro, el comentario de un marino que explica que, a diferencia del Ejército, en su arma a los detenidos "los matan desnudos para que no los reconozcan, ni sortijas ni aretes, ni zapatos ni ropa interior. Y las prendas las queman".

En el original...

No se pasen pues...

5. somewhere i have never travelled de e. e. cummings


somewhere i have never travelled,gladly beyond
any experience, your eyes have their silence:
in your most frail gesture are things which enclose me,
or which i cannot touch because they are too near

your slightest look easily will unclose me
though i have closed myself as fingers,
you open always petal by petal myself as Spring opens
(touching skilfully,mysteriously) her first rose

or if your wish be to close me,i and
my life will shut very beautifully,suddenly,
as when the heart of this flower imagines
the snow carefully everywhere descending;

nothing which we are to perceive in this world equals
the power of your intense fragility:whose texture
compels me with the color of its countries,
rendering death and forever with each breathing

(i do not know what it is about you that closes
and opens; only something in me understands
the voice of your eyes is deeper than all roses)
nobody,not even the rain,has such small hands

Lightning Seeds-Sense



POEMA (Carlos German Belli)

Nuestro amor no está en nuestros respectivos
y castos genitales, nuestro amor
tampoco en nuestra boca ni en las manos:
todo nuestro amor guárdase con pálpito
bajo la sangre pura de los ojos.
Mi amor, tu amor esperan que la muerte
se robe los huesos, el diente y la uña,
esperan que en el valle solamente
tus ojos y mis ojos queden juntos,
mirándose ya fuera de sus órbitas,
más bien como dos astros, como uno.

Lightning Seeds - Pure



La gente dice que me he vuelto loco (Jorge Eduardo Eielson)

Porque no uso corbata
Ni sombrero. O porque me enamoro
Siempre cuando llueve
O hace frío. La gente se ríe
De mi corazón cuando estornudo
Cuando lloro o cuando respiro
Pero la verdad es que la gente
Detesta mi cara de payaso
Asustado. Y sobre todo mi bolsillo
Siempre vacío y la oscuridad
En que me muevo entre destello
Y destello

domingo, diciembre 24, 2006

Homenaje a Franco Battiato: Voglio vederti Danzare



Voglio vederti danzare
come le zingare del deserto
con candela bria in testa
o come le balinesi nei giorni di festa.
Voglio vederti danzare
come i Dervisches Tourners
che girano sulle spine dorsali
o al suono di cavigliere del Katakali.
E gira tutt'intorno la stanza
mentre si danza, danza
e gira tutt'intorno la stanza
mentre si danza.
E Radio Tirana trasmette
musiche balcaniche, mentre
danzatori bulgari
a piedi nudi sui braceri ardenti.
Nell'Irlanda del nord
nelle balere estive
coppie di anziani che ballano
al ritmo di sette ottavi.
Gira tutt'intorno la stanza
mentre si danza, danza.
E gira tutt'intorno la stanza
mentre si danza.
Nei ritmi ossessivi la chiave dei riti tribali
regni di sciamani
e suonatori zingari ribelli.
Nella Bassa Padana
nelle balere estive
coppie di anziani che ballano
vecchi Valzer Viennesi.

LA CIUDAD de Constantino Cavafis



Dijiste: "Iré a otra ciudad, iré a otro mar.
Otra ciudad ha de hallarse mejor que ésta.
Todo esfuerzo mío es una condena escrita;
y está mi corazón - como un cadáver - sepultado.
Mi espíritu hasta cuándo permanecerá en este marasmo.
Donde mis ojos vuelva, donde quiera que mire
oscuras ruinas de mi vida veo aquí,
donde tantos años pasé y destruí y perdí".
Nuevas tierras no hallarás, no hallarás otros mares.
La ciudad te seguirá. Vagarás
por las mismas calles. Y en los mismos barrios te harás viejo
y en estas mismas casas encanecerás.
Siempre llegarás a esta ciudad. Para otro lugar -no esperes-
no hay barco para ti, no hay camino.
Así como tu vida la arruinaste aquí
en este rincón pequeño, en toda tierra la destruiste.